Un cercle vertueux

La gestion d’actifs crée un cercle vertueux entre les épargnants et l’économie

Les vraies et fausses idées sur la gestion d’actifs

Une société de gestion d’actifs n’est pas une banque.

Une société de gestion d’actifs n’est pas une banque. Son rôle est de gérer et d’investir les fonds issus de l’épargne, mais elle ne les détient pas. Contrairement aux banques, elle ne collecte ni ne conserve les dépôts des épargnants.

L’épargnant ne maîtrise pas le risque de ses placements.

L’épargnant garde la maîtrise du niveau de risque qu’il souhaite prendre. En définissant son profil d’investisseur (prudent, équilibré, dynamique…), il peut choisir les placements adaptés à sa tolérance au risque et à ses objectifs de rendement.

Des compagnies d’assurance lui confient leurs investissements.

Une partie des fonds gérés par les sociétés de gestion d’actifs provient d’investissements confiés par des compagnies d’assurance, notamment via l’assurance-vie. Elles s’appuient sur l’expertise des gestionnaires d’actifs et bénéficient d’un cadre réglementaire solide.

70 % des fonds gérés en France sont placés en Europe, notamment en France.

Environ 70 % des fonds gérés en France sont investis en Europe, notamment en France. Ces placements financent notamment des entreprises, des infrastructures (comme des fermes solaires ou des lignes à grande vitesse), des immeubles, ainsi que des dettes publiques, contribuant à des projets structurants tels que le financement des retraites.

La gestion d’actifs française n’est pas encadrée.

La gestion d’actifs en France est soumise à une régulation stricte. Elle opère sous la surveillance de la réglementation européenne, de la loi française et de l’Autorité des marchés financiers (AMF). Ces règles visent à protéger les investisseurs et à assurer la stabilité et la transparence des marchés financiers.

La gestion d’actifs française est n°1 dans l’UE

Avec environ 5 000 milliards € d’actifs sous gestion, la France est le premier acteur du marché européen de la gestion d’actifs, représentant 31 % du total de l’Union européenne. Ce leadership repose sur une excellence reconnue et une forte compétitivité à l’échelle internationale.