- L’AFG a répondu à la consultation sur les stress-tests de liquidité pour les OPCVM et les FIA : consultez la réponse de l’AFG
- Si l’AFG en ligne avec l’approche fondée sur une série de principes énoncés dans cette consultation, la formulation de certaines guidelines et explications complémentaires nous semblent revêtir un caractère prescriptif. Or comme l’ESMA le précise, compte tenu des approches multiples et de la diversité des portefeuilles, il est nécessaire de préserver de la flexibilité dans la définition des stress-tests de liquidité pour que ceux-ci aient du sens au niveau du portefeuille.
- L’AFG souligne également que l’ESMA et la Commission devraient accorder un délai d’au moins deux ans pour l’application de ces guidelines. Les asset managers européens ont en effet besoin de suffisamment de temps pour développer ou réviser convenablement leurs programmes de stress-tests de liquidité. L’AFG rappelle à cet égard que les UCITS n’avaient pas jusqu’alors l’obligation de mettre en place de tels stress-tests.
- De plus, l’AFG pense que les fonds monétaires devraient être écartés du périmètre d’application de ces guidelines, étant donné qu’un cadre réglementaire strict et spécifique leur est déjà appliqué. En revanche, l’AFG est favorable à ce que ces guidelines s’appliquent aux ETFs.
- Enfin, l’AFG estime que l’utilisation des reverse stress-tests ne devrait en aucun cas être rendue obligatoire. C’est un outil parmi d’autres à la disposition des asset managers.